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mercredi 1 janvier 2020

Me, Myself and I... 2020.


         Plus les années passent, plus on prend de l'âge et, plus on devient sage ou con.

         Pour ma part, ce doit être un mix des deux. J'ai toujours dit ce que j'avais à dire, sans vouloir blesser, mais au moins les choses sont claires et au moins on sait que je ne travestirai pas la vérité surtout quand il y a fort en jeu. Cela ne plaît pas forcément mais c'est ma philosophie de vie.
La vérité n'est pas toujours bonne à dire, peut-être, mais passer la pommade n'arrangera rien. Et dernièrement, j'en ai encore eu la preuve.

         Véritable story digne des Feux de l'Amour... vous rencontrez quelqu'un avec qui vous partagez tout. Vous rencontrez aussitôt la famille, voyagez avec eux même à l'étranger, etc, etc. Vous passez même en priorité devant d'anciens proches. Certes ça ne me déplaisait pas de passer plus de temps avec, mais je n'appréciais pas sa façon de faire avec les autres, si mesquine. Jusque-là, pas trop de réactions face à mon franc-parler. On ne peut pas toujours s'entendre... (Mary tu en es la preuve lol, et pourtant ça fait plus de 10 ans que tu ne peux plus te passer de moi et de mes conneries. ^_^)
Puis il y eut un épisode un peu plus complexe. Sans rentrer dans les détails, c'était le cocktail anxiolytiques-alcool. Personne ne savait ou plutôt ne voulait savoir ce qui se passait réellement. Impossible de raisonner la personne en plus. Quand je voyais dans quel état elle rentrait, je n'ai pas pu laisser faire plus longtemps bien que ses amis trouvaient ça cool de se beurrer autant la gueule. Sans compter les périodes flagrantes de "dépression", pour lesquelles elle était déjà en mi-temps thérapeutique depuis plusieurs mois avant qu'on ne se rencontre, dépression qui était visible dans son attitude et ses messages; autant vous dire que le cocktail était plus qu'explosif durant ces phases. J'en fis donc part à sa mère, à charge pour elle de gérer mais au moins elle était au courant. La réponse fut simple, "mais non, tu t'en fais pour rien". Ah peut-être, mais je ne pense pas vu ce que je pouvais entendre dans ces moments-là; elle, elle n'était pas sur place pour récupérer l'épave! Quand cette discussion lui vint aux oreilles, ce fut radical : pour se couvrir et clore le sujet, j'endossai alors désormais le rôle du méchant et ce fut carrément du chantage et des menaces pour me clouer le bec. Des enregistrements de bribes de conversations privées, des menaces par rapport à mon emploi, et j'en passe. Il a fallu aller jusqu'à la gendarmerie pour arrêter son cirque et son harcèlement pour de l'argent.
         Jouer la victime lui réussit au final auprès de ses proches pour faire écran de fumée sur le vrai problème.
Pour les nouvelles que j'en ai indirectement, le cocktail est toujours d'actualité et étrangement, son médecin traitant a été changé alors que c'était le médecin de famille depuis des années. J'ai une sacrée réputation même auprès de ses nouvelles connaissances apparemment. Toujours à jouer la victime. Et tout récemment, j'ai même été bloqué il y a quelques semaines par une connaissance commune... et visiblement pour l'épisode gendarmerie et les courriers en AR, la mémoire lui fait toujours autant défaut dans son récit, et ça par contre, on ne peut pas les fantasmer ces documents. Quant aux parents, ils continuent à faire l'autruche, même si le grand frère est lui déjà cloîtré à l'hôpital pour éviter de se faire du mal.
         Tout cela pour dire que se donner à fond pour une personne, être sincère avec elle, ce n'est pas forcément gagnant au final et bien au contraire, cela peut même finir à l'inverse de ce qui aurait pu être attendu, logiquement. Et je suis toujours stupéfait qu'on puisse être toujours aussi vicieux et manipulateur, des années après, mais surtout hargneux à ce point juste pour se couvrir et surtout juste pour pouvoir à tout prix continuer à briller et rester le centre du monde aux yeux des gens. En général, logiquement, si on en veut tant que ça à une personne, on passe à autre chose et on ne s'en sert pas constamment pour faire de nouvelles rencontres histoire qu'on s'apitoie sur notre sort, surtout en nommant la personne à des inconnus qui n'ont rien demandé. Non?
Mais bon, cela ne me changera pas. Au moins, dans le cas présent, cela m'aura probablement évité de me réveiller auprès d'un cadavre.

         Puis il y eut l'histoire du collègue. C'était pas mal non plus.
         En sous-effectif, pas le choix que de bosser plus que la normale pour récupérer le retard quotidien. Et dans une équipe, logiquement, tout le monde fait sa part du taf. Au début, on ne disait rien. Mais plus les mois passaient, plus ça glandouillait. Autant vous dire que si déjà vous croulez sous le boulot, si vous devez récupérer le boulot d'un collègue en face de vous qui n'en branle pas une mais qui est quand même payé, y a de quoi vous foutre les boules. Perso, ce n'est pas à moi de fliquer, je fais mon taf et tant qu'on ne m'emmerde pas, je ferme ma gueule. Au bout d'un moment, ça se voit forcément quand on glande. Et ça se remarqua. Sauf qu'en général les gens, quand la moutarde leur monte au nez, ils te scalpent direct sans vergogne et ne se gênent pas pour charger aussi la mule histoire que tu la sentes bien passer la valse, tout ça dans ton dos bien sûr! Alors quand après mes congés j'apprends que les autres collègues ont vendu la mèche, que la chef a vérifié leurs dires, que le collègue visé s'est pris une soufflante... bonjour l'ambiance.
Ce que je ne savais pas, c'est que puisque j'étais nouveau dans ce service et dans ce domaine, forcément s'il y avait une erreur c'était la faute du novice bien entendu. ça ne pouvait pas être celle d'une personne qui a 15 ans d'ancienneté! Mais c'était mal me connaître. D'une part, je vérifie toujours 10 fois ce que je fais; certes on n'est jamais à l'abri d'une erreur malgré tout. Néanmoins, à Paris, contrairement en province, tout est fliqué en profondeur et il y a même un service qui passe ses journées à vérifier ton taf... alors quand j’ouïs dire que pour justifier ses stats pourries le collègue m'avait incriminé, prétextant qu'il devait repasser derrière mon taf, ma fierté en prit un coup et je l'ai eu aussi mauvaise; j'ai donc simplement demandé à sortir les stats des dossiers que j'avais traité. Quand j'ai tort, j'aime bien vérifier où j'ai fait l'erreur pour éviter de récidiver... résultat : TOUS mes dossiers étaient corrects et il n'est JAMAIS repassé sur aucun d'entre eux. La chef n'a pas trop apprécié qu'on se foute de sa gueule aussi royalement... le collègue s'est donc pris un tsunami dans la gueule en retour. Et quand en réunion les autres collègues ont appris ce qu'il avait encore fait... pour éviter de finir comme moi... dès qu'il faisait une erreur c'était aussitôt remonté à la chef. Quelle ambiance!
         On en revient toujours à la même chose. Tu fais chier personne, tu fais juste ton taf et tu ne t'occupes pas des autres qui se tirent dans les pattes continuellement. Hé bien non, au final, c'est toujours celui qui ne dit rien qui se fait forcément allumer. Sauf que chez moi, c'est comme la cocotte-minute... j'encaisse, j'encaisse... je préviens... et si tu continues, la cocotte elle t'explose à la gueule et je ne fais pas de cadeau surtout quand on remet mon travail ou mon implication en question.
Et dire que lui aussi, restos, soirées à gogo... et pourtant ça ne l'a pas empêché de me la faire à l'envers. Pourquoi ne pas juste avoir reconnu son erreur au lieu de reporter sa propre faute sur un autre? L'Humain, dans toute sa splendeur...

         En résumé, 2020, ça ne sera pas non plus l'année où je commencerai à passer de la pommade pour bien me faire voir. Si les gens ne sont déjà pas foutus d'être CLEAN avec les personnes qui l'ont toujours été envers eux, je n'ose imaginer comment ils sont avec les faux-culs. Le pire parfois, c'est qu'ils ne se rendent même pas compte que leurs soi-disant amis les entubent royal, et là tu esquisses un joli sourire quand on te reproche ton honnêteté.

         Voilà, voilà. Reparti à raconter ma life à chaud, donc désolé pour les éventuelles fautes et l'humeur de l'instant.




samedi 1 janvier 2011

Nouvel An, Nouveau Blog...





Janvier 2011... voici donc déjà 4 ans que le blog a été créé.

L'année 2010 fut une année à changements, l'année 2011 fut celle des véritables changements. Persister à s'attacher aux gens qui n'en valent pas la peine en espérant qu'un jour ils vont changer c'est du passé, le ménage fut radical en cette année 2011. Quand les gens sont aussi personnels et égoïstes, pourquoi s'emmerder avec? Après tout moi aussi j'ai une vie...
Il ne sera donc plus question de mon ex-BEST Tonio, le titre du blog n'étant lui aussi plus d'actualité. 


Toutefois, le blog conserve toujours la même structure : le boulot, les amis et autres, puis "moi".
Et désormais, vous pouvez me suivre encore mieux via la page FACEBOOK crée pour.




Since January 2007.