mardi 30 janvier 2007

La peur au ventre

Tu n’imagines pas comme c’est affreux
De te voir dans cet état comateux,
De te voir en léthargie,
Quand tu fantasmes sur cette furie.

Je suis peut-être qu’une ordure, une pourriture,
Mais au moins, je me projette dans le futur.
Et en te préparant à tous les coups durs,
Je te prépare en fait à cette éventuelle rupture.
Là je te vois tout heureux
C’est limite si tu n’en remues pas la queue.
Et je ne veux en aucune façon
Que tu te retrouves comme un couillon,
Comme un pauvre con qui a tout perdu,
Parce qu’il avait la berlue et le feu au cul.

Ce que tu vis avec cette garce
N’est rien d’autre qu’une farce,
Car ta copine est un vrai vampire
Elle ne pense qu’à sucer et tu ne vois rien venir.
Ce n’est qu’une grosse pute
Qui n’a en tête que de te faire une flûte.
Si tu savais comme ça me bouffe
De te voir roucouler avec cette pouf,
Car j’imagine ce qu’elle va te faire subir
Et toi comme un con, tu fonces sans réfléchir.
Par mois, vous vous verrez juste quelques week-ends
Et tu crois que ça va finir par un happy end ?

Ta copine est juste un parasite,
Qui n’a en tête que sucer des bites,
Et tout ce que tu vas y gagner
C’est pouvoir te lamenter,
Car elle t’aura fait cocu,
Et toi tu l’auras eu dans le cul.
A ton âge, c’est lamentable
D’être aussi pitoyable
Et de ne pas voir que pour ta « biche »,
Tu n’es rien d’autre qu’une potiche.


(Même chose, les grossièretés montrent juste mon exaspération et elles sont nécessaires pour les rimes)


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