mardi 30 janvier 2007

Peter Pan

Je ne sais pas pourquoi
Parfois tu es si froid avec moi.
Je sais que tu n’es pas mauvais,
Mais si seulement tu comprenais
Que je suis aussi jaloux,
Parce que je suis le seul à prendre tous les coups.

Depuis que cette fille t’a éloigné de moi
Je n’ai plus foi en toi,
Car tu es devenu tellement froid comme le marbre
Que ça en devient presque macabre.
Je ne peux plus vous voir,
Je ne peux plus te croire.
En toi je voyais plus qu’un ami,
Mais maintenant tout s’est assombri.
Je voulais tout savoir sur toi, te découvrir...
Mais maintenant, la vérité me fait souffrir.
Quand j’ai appris qui tu étais par la suite,
J’ai pu expérimenté ce qu’est une mort subite.

Quand je veux parler sérieusement de nous deux,
D’un seul coup ça devient orageux.
Tu dis que tu réfléchis trop
Et que ça chauffe dans le ciboulot,
Pourtant il n’y a pas besoin de réfléchir
Pour parler de souvenirs et d’avenir.
Par contre, quand l’autre fait sa chaude,
Te voilà parti pour lui composer une ode,
Et là tu prends bien ton temps,
Pour faire ton Don Juan.

Tu privilégies donc une petite amie fictive
A tes amis restés dans l’expectative.
Et après tu te demandes pourquoi
Les gens se désintéressent si facilement de toi…


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